tu viens dans la maison de tes parents
rendre visite à ton enfance
et la poingée de la porte
te reste dans la main
tu longes le couloir
qui menait à ta chambre
et tu trouves des ombres
assises sur des bancs
rendre visite à ton enfance
et la poingée de la porte
te reste dans la main
tu longes le couloir
qui menait à ta chambre
et tu trouves des ombres
assises sur des bancs
Homero Aridjis
(imagem, Evelina Oliveira)
3 comentários:
grande sorriso por ver-te de volta, moriana :)
obrigada, J. :)
Um regresso é um (re)viver ou uma vida nova?
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